A la faveur de la pandémie, les acteurs du disque diversifiés dans le live attirent les artistes, au détriment des producteurs de spectacles, privés de scène. Lorsque viendra le temps d'une reprise normale des concerts, on pourrait compter les morts.
ENQUÊTE. Fermetures, licenciements, coupes budgétaires… Les institutions confrontent leurs solutions pour éviter le naufrage et penser à l’après-pandémie.
Si les musiciens souffrent de l’arrêt de leur activité, ils ne sont que la partie émergée de l’iceberg : une multitude de métiers “invisibles”, des techniciens aux transporteurs, rendent le leur possible. Et ils sont frappés de plein fouet par la crise.
Pour le monde des arts et de la culture, Joe Biden représente une très grande force d’inspiration pour les quatre années à venir aux États-Unis, comme le souligne cet article publié sur le site français de The Conversation.
Les exploitants de salles de concerts et de théâtres ont de plus en plus de mal à assumer leurs loyers alors que leurs billetteries sont paralysées. La concentration guette et pourrait menacer l'écosystème.
A l’Ecole Claude Mathieu à Paris, les élèves découvrent leur futur métier avec les contraintes imposées par la crise sanitaire.
Cours en ligne, visites virtuelles, réalité augmentée… Face aux pertes financières liées aux mesures contre la pandémie de coronavirus, les musées cherchent de nouveaux revenus dans le digital. Une démarche jusqu’ici taboue en France.
Au bout de deux semaines de reconfinement, les professionnels du spectacle peinent à sourire.
Eprouvés par la crise sanitaire et la mise à l’arrêt du secteur culturel, ces travailleurs précaires souffrent de n’avoir aucune visibilité quant à la réouverture des salles.
Confronté à un effondrement global de son économie, le spectacle vivant doit relever trois défis majeurs : survivre, investir dans sa transition numérique et écologique, et rebondir.