L’omniprésence des smartphones dans nos vies entraîne des résistances. On voit depuis quelques années fleurir dans le secteur de la musique des prises de positions contre leur utilisation pendant les spectacles. États des lieux d’un rapport ambivalent à ces outils.
Ce chéquier voulu par Emmanuel Macron pour inciter la jeunesse à découvrir l’offre artistique publique ne résout en rien les fractures culturelles entre villes et campagnes et n’a pas non plus les retombées attendues pour les acteurs locaux de la culture, relève, dans sa chronique, Michel Guerrin
Après la peur, la réflexion. Entre introspection et projections, dix personnalités du monde de la culture s’expriment. Plus combatives que jamais.
TRIBUNE – Un collectif d’artistes, de metteurs en scène et d’élus appellent à soutenir et à diffuser les œuvres de créateurs ukrainiens. Dont certains seront présents au Festival d’Avignon, qui s’ouvre le 29 juin.
Le spécialiste des politiques culturelles, Jean-Michel Tobelem, fait trois propositions pour renforcer les liens entre le public et les institutions culturelles pour élargir leur audience.
TRIBUNE – Dans une tribune collective, plus de cinq cents acteurs et artisans du monde musical classique expriment leur profonde inquiétude face au risque de voir le Rassemblement national accéder au pouvoir.
Conduire une nouvelle révolution culturelle, redonner du sens au vivre-ensemble, renouer avec le droit à la fête ou encore consacrer 1 % du PIB à la culture et à la création sont les axes principaux du projet de société défendu p
Plus de 800 professionnels de la culture, dont les comédiens Romane Bohringer et Gilles Lellouche et le réalisateur Cédric Klapisch, appellent, dans une tribune au « Monde », à une mobilisation contre le Rassemblement national « pour que la France des Lumières conserve un avenir » .
Plusieurs centaines de personnalités de la culture, soutenues par quarante-six organisations, dénoncent dans «le Monde» le péril d’un «régime totalitaire» et appellent à se mobiliser «contre la haine de l’autre».
Les directeurs de Centres dramatiques nationaux et l’intersyndicale du spectacle vivant déclarent ne plus vouloir défendre la ligne d’un service public devenu la cible d’un néolibéralisme sourd et aveugle qui a favorisé la montée de l’extrême droite.