Quatre mois après les annonces par la Région Pays de la Loire de coupes budgétaires sévères, les premières annonces de licenciement tombent.
En quinze ans, malgré les attentats, la crise du Covid et une inflation persistante, Paris a retrouvé le sens de la bringue, tirée par les musiques électroniques.
Pour la ministre de la Culture, pas question que ses services puissent critiquer ouvertement les géants du luxe qui cogèrent le Musée des Arts décoratifs. Au premier rang desquels figure le patron de LVMH, un certain Bernard Arnault…
Les services de la métropole de Rennes ont piloté la création d’une pictothèque, en accès libre, pour communiquer sur les sorties culturelles.
[Rennes métropole (Ille-et-Vilaine) 43 communes 474 000 hab.]
Le dispositif censé offrir aux jeunes un meilleur accès à la culture voit sa part individuelle, critiquée, profondément modifiée, tandis que la part collective, plébiscitée, est gelée. Comment en est-on arrivé là ? Analyse.
Le pass Culture évolue dès le 1er mars 2025 : suppression de la part individuelle pour les 15-16 ans, réduction de moitié des crédits pour les 18 ans, mais introduction de nouveaux critères sociaux.
Derrière ce vocable barbare se cachent un savoir-faire français de plus en plus recherché, une floraison d’agences indépendantes et le rêve pour les institutions hexagonales de trouver une source de financement.
Après Amazon et Netflix, Disney a décidé de mettre en veilleuse ses programmes « diversité, équité et inclusion ». Une évolution qui a commencé avant même les offensives des conservateurs de l’Amérique de Donald Trump.
La nouvelle présidente de la société Pass culture détaille, dans un entretien au « Monde », les changements apportés à ce dispositif culturel, qui sera supprimé pour les moins de 17 ans.
Les artistes auteurs assujettis à l’Agessa n’avaient jamais été prélevés de cotisation à l’assurance vieillesse, en violation du code de la sécurité sociale.