Le secteur culturel le plus touché par la crise sanitaire ne voit toujours pas comment il pourra redémarrer son activité.
La culture est-elle objet de consommation comme les autres ? Dans cette tribune, le collectif Païdeia plonge dans l’histoire des idées pour éclairer nos politiques culturelles et donner à penser demain, notamment au prisme des humanités numériques.
Malgré les résultats de quelques sorties françaises, les salles ne sont fréquentées que par un spectateur sur trois par rapport à la moyenne d'avant le coronavirus.
Sinistrées par la crise sanitaire, les entreprises du secteur enregistrent toujours un chiffre d’affaires proche de zéro et réclament des dispositifs d’accompagnement.
Un mois après la réouverture des salles, le nombre d'entrées est à environ un tiers de sa moyenne habituelle. Si ce chiffre est encourageant, les salles estiment qu'elles auront besoin de mesures supplémentaires de soutien pour s'en sortir.
La crise sanitaire mondiale a accentué les difficultés que connaît le secteur de la musique, en empêchant les concerts, principal gagne-pain des musiciens. La profession est obligée de se réinventer. Mais par quels moyens ?
Depuis quelques semaines, l’invasion d’artistes de tout poil sur les places, les marchés, au pied des immeubles, mais aussi dans les parcs, les jardins, prend une ampleur saisissante.
Une étude initiée par France Festivals et présentée le 17 juillet livre une base de référence pour suivre les évolutions des festivals dans le sillage de la crise sanitaire.
Faute de films porteurs qui leur assureraient une rentabilité, 10 % des salles de l’Hexagone ont gardé porte close depuis le 22 juin.
De nombreux rendez-vous d’été ont été annulés, mais les festivals qui ont décidé de se maintenir inventent de nouvelles formes, d’Annecy Paysages à L’Île-de-France fête le théâtre à Cergy-Pontoise, en passant par Bussang et son théâtre du Peuple.