À partir du samedi 17 octobre, la vie sociale nocturne s’arrêtera entre 21 heures et 6 heures à Paris, en Île-de-France et dans les métropoles d’Aix-Marseille, Grenoble, Lille, Lyon, Montpellier, Rouen, Saint-Étienne et Toulouse, pendant au moins quatre semaines.
Couplée à la chute de la fréquentation, elle pousse certaines salles de spectacles à limiter la distribution de places gratuites et à revoir leur tarification.
De Lorient à Lunéville, maires et adjoints à la culture veulent intervenir dans le choix des spectacles des théâtres de leur ville à la programmation qualifiée d’« élitaire ». Vous avez dit « populaire » ? Comme c’est populiste.
Le Hard Seltzer Snowmelt compte sur le Paris Surf & Skateboard Film Festival du 24 au 27 septembre pour son lancement. Cet été, Balmain s'est allié à la version pourtant édulcorée du festival Lollapalooza.
REPORTAGE I A Paris, comédiens, directeurs de salles et spectateurs composent avec les nouvelles règles de distanciation.
Le Louvre, Versailles, Orsay, le Centre des monuments nationaux… Toutes les grandes institutions culturelles françaises accusent des pertes en dizaines de millions d'euros. Elles appellent à l'aide l'Etat actionnaire pour préserver l'avenir.
Selon une enquête de L'Œil du public, 47% des Français prévoient de réduire le nombre de leurs sorties culturelles.
Avec 2460 manifestations annulées cet été, le manque à gagner pour les collectivités, les commerçants et, bien sûr, pour les organisateurs, menace l'emploi dans le secteur culturel et au-delà.
Face au coronavirus, les initiatives solidaires et engagées se multiplient, à l'instar d'une trentaine de petits ensembles qui se regroupent géographiquement ou par affinité artistique, pour créer leur propre festival.
Le secteur des musiques actuelles n'envisage pas de retour à la normale avant l'automne 2021. L'interdiction des concerts debout tandis que les rassemblements de plus de 5.000 personnes seront de nouveau permis à partir du 1er septembre, rend la reprise inenvisageable.