Les investissements dans le cinéma ont chuté l’an dernier, mais 239 films ont pu voir le jour. L’apport de Canal+ dans le septième art a atteint son plus bas niveau depuis 1994. 

Antoine Pecqueur est en direct de Barcelone, où il a pu assister à plusieurs concerts.

Le dernier volet de l'étude So Fest menée par des chercheurs pour France Festivals fait le bilan des dégâts de 2020 alors que ces événements sont de plus en plus durablement enracinés dans leurs territoires.

Les festivals pourront avoir lieu cet été mais avec des conditions précises. Les spectateurs devront notamment rester assis. Mauvaise nouvelle : le public ne sera pas au rendez-vous.

Olivier Py a présenté, mercredi 24 mars, les spectacles qui composeraient le « in », prévu pour se tenir du 5 au 25 juillet dans la Cité des papes. Une édition de haute tenue et internationale, en dépit du contexte de crise sanitaire.

Encadré par de strictes consignes sanitaires, le public réinvestit peu à peu les salles new-yorkaises. Le secteur, en attente de perfusion de l’Etat, peine à se remettre des mois de fermeture.

Cineworld, deuxième leader mondial de l’exploitation cinéma, annonce rouvrir ses portes début avril avec la sortie de «Godzilla vs. Kong». Mais la crise du Covid a réduit de moitié la durée d’exclusivité des blockbusters en salles.

L’Espagne est l’un des rares pays d’Europe à avoir laissé ouverts musées, théâtres et cinémas. Mais la pandémie a renforcé la précarité du secteur, dans un pays où le statut d’intermittent du spectacle n’existe pas.

Deux nouveaux volets de l’enquête SoFest de France Festivals dressent une typologie des événements et se plongent dans les pratiques en matière de coopération et de partenariat.