Créé en 2000, le Centre national de la musique a été d'emblée plongé dans la gestion des mesures de l'Etat pour contrer les effets de la crise sanitaire.
La plate-forme s’engage à investir 4 % de son chiffre d’affaires annuel en France dans le 7e art en apportant au minimum 30 millions d’euros dans 10 films.
La destruction imminente du Centre dramatique national, voulue par le maire Christian Estrosi, suscite une polémique.
Lumière tamisée pour éviter le noir complet, niveau sonore adapté, ciné-goûter ou ciné-danse... Certains exploitants rivalisent d’ingéniosité pour que les premiers films vus sur grand écran soient des expériences inoubliables. Et que les moins de 15 ans gardent le goût des salles obscures.
L’économiste Paul Muller souligne, dans une tribune au « Monde », les conséquences néfastes du streaming sur l’état du secteur de la musique enregistrée et de la création musicale, au-delà la récente affaire Rogan.
La sécurité, le pouvoir d’achat et l’immigration monopolisent les programmes et discours des candidats à l’élection présidentielle. La culture en revanche est aux abonnés absents. Tour d'horizon.
La technique de la spatialisation du son est le nouvel enjeu stratégique de l’industrie musicale. Pour une meilleure expérience dans les concerts mais surtout pour le streaming.
L’année 2022 sera celle de la frénésie numérique dans la culture, analyse dans sa chronique Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».
L’Académie des Beaux-Arts s’engage contre la censure des œuvres d’art sur les plateformes de diffusion numérique qui interdisent toute nudité sans distinction de support.
Trois économistes appellent à rééquilibrer les soutiens publics sur l’ensemble des territoires, à déployer une stratégie dans le numérique et à renforcer le service public de la culture.