Comme Françoise Pétrovitch au Fonds Hélène et Edouard Leclerc à Landerneau et Christine Rebet au Musée d’art contemporain de Lyon, les plasticiens sont de plus en plus nombreux à s’emparer des possibilités offertes par ce média pour raconter le monde qui les entoure.
Le machiniste Nicolas S. a été condamné à 8 mois de prison avec sursis et 1500 euros de frais de justice par le tribunal correctionnel de Toulouse pour avoir saboté un décor à l'opéra du Capitole et manqué de peu d’écraser le ténor Robert Dean Smith sous un faux rocher de plus de 200 kg.
Maintenues l'an dernier, les deux manifestations en sortent renforcées. Le Festival du cinéma américain de Deauville, qui ouvre ses portes vendredi, s'enrichit du partenariat renouvelé avec Cannes, tandis qu'Art Paris récupère un nombre inédit de galeries prestigieuses.
Un nouveau volet d’aides, notamment pour les grands établissements, devrait être débloqué afin de compenser les effets de la crise sanitaire sur le secteur particulièrement touché.
Si le marché de l'art est bien reparti, les théâtres et salles de spectacle manquent de visibilité, et les grands musées ou monuments parisiens restent en manque de touristes internationaux.
Après un été décevant côté billetterie, les programmateurs qui ont maintenu leur édition, comme Art Rock, VYV Festival et Peacock Society, parient sur un réveil de dernière minute des spectateurs.
Les secteurs en difficulté se satisfont du maintien d’une aide aux entreprises déficitaires, les free-lance vont regretter la simplicité du fonds de solidarité.
La ministre de la Culture a fait escale ce week-end au festival Jazz sous les Pommiers. "Je vais inciter les scènes musicales à mieux intégrer le jazz dans leurs programmations", a-t-elle assuré, dans le cadre d'une discussion avec les artistes et les créateurs.
Pour les bibliothécaires et les gestionnaires de lieux de spectacle vivant, la rentrée s’annonce chargée en sujets d’actualité à suivre. Tour d’horizon des principaux dossiers.
La fréquentation des salles de cinéma a été volatile après l'introduction du passe sanitaire le 21 juillet, avec un manque à gagner estimé à 51 millions d'euros. Le gouvernement prévoit des aides. Et la richesse des films dont la sortie est prévue à l'automne est de bon augure.