En dépit du choc provoqué par le lancement d'un nouveau confinement, le monde de la culture ne veut pas baisser les bras. Les professionnels demandent à poursuivre les activités d'éducation et d'enseignement artistique.
Entre fatalisme, colère, peur de l’avenir et envie d’y croire, les artistes et acteurs du monde culturel affrontent une nouvelle période de salles vides.
Les uns après les autres, les pays européens annoncent des durcissements de leurs mesures sanitaires. De plus en plus de gouvernements limitent voire interdisent l'accès aux théâtres, salles de spectacle, cinéma et musées. Culturelink fait un tour d'Europe.
Le concert solidaire de l’association Unisson, donné le 17 octobre à l’Opéra-Comique, sera diffusé le 31 octobre sur France Musique, avant d’être disponible en streaming.
Un rapport de la Confédération internationale des sociétés d’auteurs et compositeurs, publié mercredi, conclut que les suites de la crise sanitaire entraîneraient une perte de 3,5 milliards d’euros de revenus pour les créateurs.
Changements législatifs, adaptation de travail, activité partielle… Vous êtes un peu, beaucoup, passionnément perdus ? Le "livre blanc" de GHS fait le point sur les mesures COVID-19 en entreprise.
Le Syndicat des musiques actuelles a fait une nouvelle fois part de son inquiétude quant aux répercussions du couvre-feu sur le secteur des musiques actuelles.
Déjà mises en difficulté par les contraintes liées à la distanciation sociale et à l’interdiction de rester debout pour le public, les salles de spectacle se réorganisent et changent leurs horaires pour s’adapter.
L'industrie musicale n'échappe pas à la libération de la parole : recueil de témoignages, aide juridique aux victimes, de nombreuses initiatives émergent pour dénoncer les violences sexistes et sexuelles.
"Ce que je veux, c'est combattre les violences sexuelles, sexistes et harcelantes dans tous les établissements dont j'ai la responsabilité", déclare la ministre de la Culture