Dès 2024, les plateformes, producteurs de musique et organismes de gestion des droits devront participer au financement du Centre national de la musique, qui soutient la diversité musicale et l’émergence de nouveaux talents.
Annoncée par le gouvernement le 13 décembre, la taxe sur le streaming musical, redoutée par les plateformes, sera finalement mise en place dès 2024, afin de financer les aides di Centre National de la Musique.
C’est tranché : l’organisme public sera financé via une contribution obligatoire de tous les acteurs du secteur. Les plateformes enragent, Spotify et Deezer en tête.
L'annonce d'une nouvelle taxe streaming pour financer la création musicale en France fait réagir les plateformes d'écoute de musique en ligne.
La programmation culturelle de CVS a renforcé l'attractivité du château de Versailles (Yvelines) ces dernières années. Mais les magistrats déplorent un pilotage peu encadré et un manque de transparence dans l'emploi des aides attribuées.
Lors de la dernière négociation sur la réforme de l’assurance chômage, l’organisation patronale a tenté de durcir, sans succès, les conditions d’accès au régime de l’intermittence. Et enterré du même coup des propositions d’amélioration salutaires.
Plus de 500 personnalités du monde de la culture appellent à une marche silencieuse le dimanche 19 novembre. Parmi les signataires, Isabelle Adjani, Alex Lutz, Christophe Honoré, Agnès Jaoui, Bruno Podalydès, Elsa Wolinski…
Une étude commandée par le Centre National de la Musique affirme que le crédit d'impôt phonographique a engendré 161 millions d'euros d'investissements sur 2018 - 2021 et celui dédié au spectacle vivant 166 millions sur 2018 - 2020, fléchés vers des projets plus risqués.
Les négociations entre partenaires sociaux sont en cours au sujet de la refonte des règles de l’assurance-chômage. L’intermittence du spectacle pourrait en faire les frais. Et ce, alors que Pôle emploi doit se transformer en France Travail dès janvier.
Injures et règlements de comptes : le financement du CNM vire au vaudeville. Et à la fin, c’est Bercy qui décidera si les plateformes sont taxées.