Depuis le vendredi 26 avril 2024, une pétition circule en ligne pour « s’exprimer » et « faire entendre la voix » des personnes qui soutiennent le festival, qui a annoncé un éventuel arrêt de l’événement après 2024.
Absence de stratégie, modèle économique fragile, fermeture pour travaux mal préparée… La Rue Cambon publie un rapport extrêmement critique sur le célèbre musée aux tuyaux verts et bleus.
Le départ du directeur historique du festival va permettre de repenser la forme à lui donner dans l’avenir. Nombreux sont ses dauphins prêts à prendre la relève de ce grand mousquetaire de la danse.
La manifestation, avancée d’une semaine en raison des Jeux olympiques, se tiendra du 29 juin au 21 juillet. La langue invitée est l’espagnol, et l’« artiste complice », le chorégraphe français Boris Charmatz.
C’est une longue bataille juridique que vient de trancher la Cour de cassation : la jeune fille triste peinte par Banksy sur une porte du Bataclan appartient bien aux propriétaires de l’immeuble.
Deux spécialistes, qui par leurs recherches avaient «restitué» la version de 1664 de la pièce, réclamaient des droits d’auteur pour la production inédite de la comédie en trois actes.
Un ex-membre du groupe catholique intégriste a été condamné à de la prison avec sursis pour avoir perturbé un concert de Kali Malone à Carnac. Un épisode loin d’être isolé, alors que l’Église souhaite “resocialiser” ses lieux de culte.
Le tribunal correctionnel de Lorient a condamné lundi 25 mars un membre du groupe catholique d’extrême droite Civitas à cinq mois de prison avec sursis pour avoir empêché le déroulement d’un concert dans une église à Carnac en mai 2023.
Un homme et une femme étaient jugés pour avoir empêché en mai dernier à Carnac un concert de la musicienne américaine Kali Malone. Tous deux membres du mouvement catholique intégriste Civitas. Le tribunal correctionnel de Lorient condamne l'homme à de la prison avec sursis et relaxe la femme.
Alors que les JO populariseront encore davantage la breakdance cet été, les députés ont voté jeudi 7 mars l’adoption d’une loi visant à professionnaliser toutes les danses. Une décision fortement critiquée par une partie du secteur hip-hop, promue comme «égalitaire» par les autres.