Marine Le Pen vient de se qualifier pour le second tour de l'élection présidentielle. Que prévoit son programme pour le secteur culturel?
En quarante ans, l’approche des politiques culturelles a radicalement changé. Dans les années 1980, les artistes et l’excellence étaient rois.
Alors que la thématique a été écrasée par celle sur la sécurité ou le pouvoir d’achat, les propositions des principaux candidats divergent peu.
Critiqué pour avoir imposé « d’en haut » son dispositif, la société pass Culture engage le dialogue avec les élus locaux. Objectif : inscrire progressivement dans le paysage culturel local le dispositif promis par Emmanuel Macron en 2017.
Les organisations professionnelles du secteur public du spectacle vivant ont réuni le 30 mars à Paris les représentants de cinq des douze candidats à l’élection présidentielle. Objectif : obtenir des précisions sur les intentions des prétendants à l’Elysée.
Le président de la République a assuré la survie du secteur durant l’épidémie de Covid-19. Il a injecté des crédits massifs sans pour autant révolutionner la politique culturelle.
Le ministère de la Culture a présenté le 11 mars la réforme du dispositif de soutien aux équipes artistiques. Cette révision des aides déconcentrées au spectacle vivant a fait l’objet de nouveaux textes réglementaires.
La culture, grande absente de la campagne ? Qu’à cela ne tienne ! Quinze jours avant le premier tour de la présidentielle, Télérama invite dix personnalités de la culture pour remettre le sujet au centre du débat.
Transmission, éducation, accès aux œuvres et aux savoirs... L’Humanité donne carte blanche à dix personnalités du monde culturel pour penser les missions d’un futur ministère et remettre au centre des préoccupations ce thème oublié de la campagne électorale.
À force de laisser l’Élysée dicter sa conduite, le ministère de la Culture a perdu le rôle moteur qui lui avait été assigné. A-t-il encore un sens ? Oui, à condition de porter de nouveau un projet de société.