La pandémie de Covid-19 a vidé des salles de cinéma, qui peinent maintenant à refaire le plein. Des communes mettent en oeuvre des solutions qui ont faire leurs preuves pour motiver leur public.
La nouvelle ministre de la culture a rencontré, mardi 24 mai, les professionnels du cinéma au cours du Festival de Cannes
A peine arrivée Rue de Valois, la nouvelle ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, reçoit les desiderata des professionnels sur les dossiers prioritaires à traiter. De leur côté, les élus chargés de la culture sont déjà sur le pont pour défendre les politiques culturelles territoriales.
Les actifs et les jeunes apprécient les visites en soirée, davantage compatibles avec leur emploi du temps. Mais ces extensions horaires nécessitent une adaptation du personnel.
Dans une lettre ouverte rendue publique ce 24 mai, des responsables d’institutions dénoncent les baisses de subventions massives décidées par la Région. Un dossier épineux dont pourrait avoir à se saisir la nouvelle ministre de la Culture.
Face au manque de spectateurs dans les salles, qui fait peser un grave danger sur le cinéma d’auteur, les producteurs, les distributeurs et les diffuseurs doivent être soutenus par une puissance publique soucieuse avant tout de création et non de rentabilité économique.
Nommée à la tête du ministère de la Culture en plein Festival de Cannes, l'ancienne conseillère d'Emmanuel Macron entend aussi «porter un grand plan pour les métiers d'art».
Sous la houlette de Maëlle Poésy, le rendez-vous de printemps fait la part belle aux projets internationaux, pluridisciplinaires et portés par des artistes femmes.
Le chorégraphe a été choisi pour la direction de la Maison de la Danse de Lyon et la co-direction de la Biennale de Lyon.
Souvenons-nous du casting des artistes réunis autour d’Emmanuel Macron début mai 2020 (les Nakache/Toledano, Mathilde Monnier ou Catherine Ringer) pour le désormais célèbre grand show présidentiel en bras de chemise daddy cool où tonnait l’étonnante punchline «enfourcher le tigre» : c’ét