Pour sa première audition devant le Sénat, la nouvelle ministre de la Culture, Rima Abdul Malak n’a pas échappé aux questions portant sur l’avenir de l’audiovisuel public.
Dans ces espaces partagés, s'entremêlent travail, formation, culture ou encore activités sociales.
Après la condamnation du chorégraphe à dix-huit mois de prison avec sursis pour agression sexuelle sur une de ses danseuses, la compagnie Troubleyn s’est vue retirer ses subventions.
En visite au Hellfest samedi soir, Rima Abdul Malak a assuré que ces événements pourraient se dérouler «dans de bonnes conditions» malgré la reprise épidémique.
Après la pandémie et avec l’évolution des comportements, notamment ceux des jeunes friands de numérique, faire revenir le public au spectacle constitue un défi pour les institutions, souligne Guillaume Fraissard, chef du service Culture du « Monde », dans sa chronique.
Les entrées sont reparties à la hausse dans les salles de 39 pays européens, en 2021, mais restent inférieures de plus de 70 % par rapport au pic de 2019.
Les syndicats professionnels du secteurs confirment que les aides de l’Etat ont permis aux cinémas, théâtres et librairies de survivre à la crise sanitaire.
Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, assure sur France Inter mardi 21 juin que le projet du gouvernement actuel n'était pas de privatiser l'audiovisuel public.
Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, évoque sur France Inter mardi 21 juin la fréquentation des cinémas, en baisse depuis plusieurs mois, et la reprise des festivals d'été en France.