Pierre Beffeyte, président de l’association Avignon Festival & Compagnies (AF & C), explique l’équation compliquée de la manifestation pour les artistes.
Les « testeurs » du dispositif, qui octroie 500 euros aux jeunes de 18 ans pour s’offrir sorties, biens ou pratiques culturelles, privilégient celles qu’ils connaissent. Les jeunes éloignés des études sont les plus durs à atteindre.
Les secteurs du patrimoine et du spectacle vivant peinent à attirer les jeunes.
Dans le « off » d’Avignon, les programmateurs de théâtre font leur marché parmi les 1 600 spectacles proposés. Ce qui demande d’être organisé, ouvert aux surprises, et de bien connaître son public.
L’anniversaire a coïncidé avec l’annonce d’une dizaine de nominations tardives et attendues.
Allez, osons les paris. Gageons que, lors des prochains Molières, La Famille Ortiz se retrouvera parmi les nommés.
Robin Renucci : « Une approche strictement régionale de la culture peut conduire à créer des “usines à rêves” »
Alors que les écrivains reçoivent en moyenne moins de 8 % du prix public d’un ouvrage, ils veulent imposer un taux minimum de 10 %.
Le rapport Boutonnat, qui vise à élargir le financement du cinéma au privé, a été suivi d’une annonce qui permet de venir sérieusement en aide au 7e art français.
Avec sa croissance exponentielle (1.592 spectacles), le festival Off d’Avignon, longtemps synonyme de liberté, craint la saturation. L’association qui le chapeaute et des collectifs de compagnies s’activent pour inverser la tendance.