Plus d’une vingtaine d’organisations professionnelles du cinéma, de la musique et de l’audiovisuel ont appelé, ce vendredi, à muscler les sanctions contre le piratage des œuvres en ligne, dans le cadre de la réforme de l’audiovisuel, une proposition pourtant rejetée par le ministre de la Culture, Franck Riester.
Depuis maintenant une quinzaine d’années, le téléchargement, le streaming et la télévision par Internet sont utilisés pour violer nos droits. L’usage illicite de ces technologies éreinte nos secteurs et menace la survie de notre diversité culturelle. Il s’agit maintenant de réagir avec force et d’envoyer un signal clair
, indiquent dans une tribune ces 26 organisations, dont la Sacem, la Guilde des scénaristes, la Société des réalisateurs de films, la Fédération nationale des cinémas français…
Et de proposer deux mesures. Tout d’abord, le blocage efficace et instantané de l’accès aux sites et aux services pirates
, déjà prévu par le projet de loi sur la réforme de l’audiovisuel, présenté fin 2019 par le ministre de la Culture Franck Riester et qui sera examiné au Parlement en avril.
Mais surtout, ils appellent à...
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