Dans un communiqué de presse, le Syndicat des Musiques Actuelles demande au gouvernement des actes concrets pour accompagner les dernières mesures annoncées pour le secteur de la culture, dans l'objectif de "préserver la diversité culturelle française" :
L’appel à la solidarité lancé à l’initiative de Nuits sonores à la mi-mars a été rejoint par 500 acteurs indépendants de la musique et des médias.
Dans cette période inédite où depuis mi-mars, les artistes ont vu leurs représentations s’annuler une à une, mais aussi leur travail de création suspendu et les résidences interrompues, il nous a semblé urgent (et évident) de mettre nos moyens et notre énergie à leur service.
Après avoir interpellé Emmanuel Macron sur le sort des intermittents, le collectif de plus de 800 personnalités du monde de la culture repart à l'attaque en soutien aux intérimaires et autres «extras» du secteur, massivement hors des radars des politiques de soutien mises en œuvre par le
La cascade de reports des spectacles, expositions, sorties de films ou de livres met en évidence une inflation structurelle de l’offre et une programmation de plus en plus verrouillée. Un système à repenser ?
La Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (Sacem) appelle jeudi 7 mai "l'ensemble des radios, plateformes, diffuseurs" au soutien de la filière musicale française, "notamment en renforçant la visibilité et la diffusion de productions" nationales.
Annoncé par Emmanuel Macron, mercredi 6 mai, parmi d’autres mesures pour soutenir la culture, ce système d’aide aux artistes avait été imaginé aux Etats-Unis après la crise de 1929.
Après les annonces d’Emmanuel Macron relayées par Franck Riester, hier, les syndicats sont partagés entre soulagement et frustration.
Le président de la République a pris mercredi des mesures concrètes pour les intermittents et souhaite notamment que les artistes s’investissent davantage auprès des jeunes.
RÉACTIONS - Oubli du patrimoine, «jeunisme systématique», annonces vagues... Ceux qui font vivre le secteur expriment leurs réserves quant au plan de relance du président.