Jamais une pandémie n'avait fait taire les orchestres. Comment assurer leur reprise ? Mesurer la projection d’aérosols par les chanteurs, dialoguer avec les pouvoirs publics, réfléchir à leur raison d'être sont autant de pistes à mettre en musique.
Mesures sanitaires, distanciation, placement… les recommandations officielles sont jugées « inapplicables » par certains gérants.
Face aux annonces du Président de sauver la culture en proposant une année blanche aux seuls intermittents, de nombreux salariés, indépendants ou sous-traitants du milieu multiplient les tribunes pour se faire entendre. Et craignent que le «retour à la normale» se fasse dans le noir.
Pour aider le secteur, grand oublié des aides de l’Etat pendant la crise, la société des auteurs dans les arts graphiques et plastiques (ADAGP) a publié différentes pistes, entre application de la législation, mise en place de quotas et défiscalisation.
ENQUÊTE - Des masques et des primes. Au Louvre, dans les monuments nationaux ou dans les musées de la ville de Paris, les négociations sur le plan de reprise battent leur plein. Et achoppent parfois sur des considérations très éloignées de la sécurité sanitaire.
Franck Riester, ministre de la Culture, est l’invité des "4 Vérités" de France Télévisions mercredi 20 mai.
Chorégraphes et metteurs en scène, privés de tournées, affrontent des situations économiques difficiles, voire catastrophiques.
La cérémonie, prévue le 11 mai mais décalée au 23 juin, sera diffusée sur France 2.
Réduction de la jauge des salles, repli sur des productions nationales, spectacles-balades… Divers scénarios sont imaginés pour ne pas rompre le lien avec le public.
Au-delà du plan de relance du tourisme, la filière des foires, congrès, salons, espère un accompagnement plus durable au premier semestre 2021.