La crise frappe de plein fouet le secteur de l’événementiel français : il est plus que jamais nécessaire de s’unir. Technopol lance un formulaire afin d’ obtenir des aides indispensables auprès des partenaires institutionnels et privés.
En Afrique, la pandémie actuelle met l’art en crise. Elle souligne les failles des politiques culturelles du continent, et la dépendance des artistes envers diverses institutions occidentales. Elle réveille aussi chez eux des désirs d’indépendance, d’organisation collective.
Le 13 avril, le président avait déclaré que les "grands festivals et événements, avec public nombreux, ne pourront se tenir au moins jusqu'à mi-juillet".
En raison de la crise sanitaire du Covid-19, l’opéra national de Bordeaux est contraint d’annuler tous ses spectacles jusqu’à la fin de la saison.
De Beyrouth à Palerme en passant par Lyon ou Pékin, metteurs en scène, chorégraphes ou musiciens témoignent de l’impact de l’annulation des grands festivals français.
Pour faire face aux conséquences du coronavirus et à la précarité de leur statut, les artistes lyriques s’unissent et créent le collectif UNiSSON.
Le Sénat, à majorité de droite, va modifier le budget rectificatif. « A la différence du premier PLFR, on n’est pas sur un vote conforme » annonce à publicsenat.fr Albéric de Montgolfier, rapporteur général de la commission des finances.
Régime opaque, précarité, maigres compensations, absence de statuts : intermittents et artistes-auteurs ont du mal à être rassurés par les annonces récentes du ministre de la Culture.
Tous les domaines artistiques sont durement touchés par la crise sanitaire. Les premières mesures d’aide annoncées par l’État permettent une gestion partielle de l’urgence. Mais laissent l’avenir, même à court terme, de côté.
La Scène propose une "boîte à outils", un mini-site qui répertorie les informations essentielles que doivent connaître les intermittents du spectacle - artistes et techniciens - en cette période des plus complexes.