Vente en ligne, fin des vernissages, recul des foires… La pandémie pourrait imposer un nouveau modèle.
L’acrobate Nicolas Fraiseau et la danseuse Estelle Maire témoignent de la situation financière dramatique dans laquelle les a plongés la crise sanitaire liée au coronavirus.
Sans le soutien des compagnies d'assurance pour permettre la reprise sur les plateaux, les producteurs ne voient pas le bout du tunnel. A la différence des exploitants, qui organisent peu à peu la réouverture.
Artistes et techniciens se mobilisent pour que des mesures soient prises afin de ne pas être radiés de Pôle emploi en raison de la crise due au Covid-19.
Contraintes d’annuler leur saison, les grandes manifestations internationales de spectacle vivant tentent de recaser leur programmation à l’automne. Au risque de créer des embouteillages.
Nous attendions une grande solidarité de toute une profession, qui semble ne pas être au rendez-vous.
Malgré les annonces du gouvernement pour leur venir en aide, nombre d'intermittents se retrouvent dans une situation économique catastrophique. Notamment pour ceux qui sont engagés habituellement par des organisateurs occasionnels de spectacles.
Plus aucun billet n'est acheté, même pour la rentrée prochaine. Les 770 entrepreneurs de spectacle non subventionnés - compagnies de théâtre, salles, producteurs, tourneurs - en appellent au fonds d'urgence mis en place par le ministère de la Culture.
Fermé pour cause d’épidémie de Covid-19, c’est avec le licenciement d’une partie de ses équipes que Le metropolitan museum of art « fête » ce mois-ci son 150e anniversaire.
La période de confinement imposée par l’épidémie de coronavirus n’épargne pas les musées. Ceux-ci négocient avec les prêteurs pour prolonger ou reporter leurs expositions.