La culture, grande absente de la campagne ? Qu’à cela ne tienne ! Quinze jours avant le premier tour de la présidentielle, Télérama invite dix personnalités de la culture pour remettre le sujet au centre du débat.
Année paire rime avec année de Grands Prix la Scène.
Transmission, éducation, accès aux œuvres et aux savoirs... L’Humanité donne carte blanche à dix personnalités du monde culturel pour penser les missions d’un futur ministère et remettre au centre des préoccupations ce thème oublié de la campagne électorale.
Cette ONG invite les institutions internationales à réunir mousses, bâches protectrices et tissus antifeu. Le matériel, qui sera réuni à Berlin puis envoyé à Lviv afin d'être redistribué dans le pays, servira à protéger les œuvres ukrainiennes.
À force de laisser l’Élysée dicter sa conduite, le ministère de la Culture a perdu le rôle moteur qui lui avait été assigné. A-t-il encore un sens ? Oui, à condition de porter de nouveau un projet de société.
Malgré la mobilisation de la communauté artistique et les possibilités de départ, la plupart des acteurs du monde des arts plastiques ont décidé de rester en Ukraine, où ils participent à l’aide humanitaire et contribuent à l’écriture de l’histoire en marche.
Ces musiciennes ont fui la guerre avec mère et enfants, et ont trouvé refuge au Préau, dans le Calvados. Un centre dramatique où elles n’ont pas attendu un jour avant de se remettre à jouer. Elles sont ce lundi au Théâtre de l’Odéon.
Tour d’horizon de la mobilisation à travers l’Europe. Quand certains ont recourt au système D, sans aide des gouvernements, d’autres nourrissent l’espoir que, sur le long terme, la venue de ces artistes et intellectuels de l’Est produise un choc des cultures bénéfique.
Réfugiés «ici ou là», des artistes de la scène électronique russe se mobilisent sur les réseaux sociaux pour dire leur opposition à la guerre de Poutine et venir concrètement en aide aux Ukrainiens, tout en regrettant la discrétion des stars du milieu.
INTERVIEW - Choisie pour présider le jury de Séries Mania, la productrice originaire de Kiev raconte son exfiltration pour venir jusqu'à Lille. Elle espère être présente au Festival de Cannes pour renouveler son message.