Le spécialiste des politiques culturelles, Jean-Michel Tobelem, fait trois propositions pour renforcer les liens entre le public et les institutions culturelles pour élargir leur audience.
TRIBUNE – Dans une tribune collective, plus de cinq cents acteurs et artisans du monde musical classique expriment leur profonde inquiétude face au risque de voir le Rassemblement national accéder au pouvoir.
L’Association des professionnels de l’administration du spectacle publie cet après-midi une nouvelle étude prévoyant une baisse d’un quart des représentations pour la saison 2024-2025, ainsi qu’une diminution de la diffusion des
« Le Rassemblement national dans ses œuvres » (2/2). Loin des attaques frontales des années 1990, les maires du parti d’extrême droite distillent une politique culturelle faite de promotion des traditions locales, d’aides rognées et de valorisation du divertissement.
Les unes après les autres, les organisations professionnelles, syndicales et associatives s’expriment sur la situation politique à la veille du premier tour des législatives.
« Le Rassemblement national dans ses œuvres » (1/2). S’il devait arriver au pouvoir après les législatives des 30 juin et 7 juillet, le parti d’extrême droite provoquerait une rupture dans un secteur réputé de gauche, en favorisant notamment le patrimoine au détriment de la création.
Le grand festival de metal s’ouvre ce jeudi. Alors que l’on sait que le public y est plutôt de gauche, la direction continue de se revendiquer “apolitique”. S’abstenir de prendre position, n’est-ce pas un peu faire le jeu du RN ?
Ben Barbaud, directeur du festival, est revenu sur les polémiques qui ont secoué la manifestation l’an dernier et promet de «faire plus» à l’avenir.
Ces dernières années, les témoignages d’agressions sexuelles et sexistes survenues au festival de metal se multiplient.