Pour nourrir la machine du streaming, les maisons de disques signent à tour de bras et jettent les musiciens après parfois seulement un album, une fois la tendance retombée.
Quatre mois après sa nomination, elle peine à obtenir gain de cause pour les secteurs culturels, heurtés de ne pas être vus comme « essentiels ».
De couvre-feu en second confinement, les salles de spectacles et les festivals en plein marasme subissent les contraintes sanitaires et se résignent à reporter ou annuler leur programmation.
Face au deuxième confinement décrété par le gouvernement français, une pétition mise en ligne par le SNP (Syndicat National de l'édition phonographique) plaide pour la réouverture des magasins culturels et des rayons culture des grandes surfaces.
Il y a 276 000 intermittents en France. Après les appels à l'aide en faveur du secteur de la culture et de l'évènementiel, on a demandé à cinq d'entre eux de témoigner.
L'urgence sanitaire nous oblige à faire des sacrifices. Mais pourquoi les libraires plus qu'Amazon, et les fleuristes ou marchands de jouets du quartier davantage que la grande surface ?
Une fois la crise passée, le Centre National de la Musique devra, à horizon 2022, trouver une centaine de millions d'euros de ressources pérennes par an pour mener à bien ses ambitions, affirme son président, Jean-Philippe Thiellay.
Le comédien, président de l’Association des centres dramatiques nationaux, estime que les artistes ont un rôle à jouer, notamment auprès des jeunes, en cette période de crise sanitaire.
Abattement de courte durée pour nos musiciens, ensembles, festivals, orchestres et théâtres à l'heure où la France se reconfine. Chacun semble prêt à poursuivre l'activité sans public physique, mais en ligne...
Ne plus envisager la culture qu’en part de produit intérieur brut ou en chiffres de fréquentation ou de consommation est une perversion profonde de la démocratie, s’indigne, dans une tribune au « Monde », Eric de Chassey, directeur de l’Institut national d’histoire de l’art