Avec l’interdiction des rassemblements au moins jusqu’à mi-juillet, annoncée par le président de la République ce lundi, les festivals de l’été n’auront en partie pas lieu.
Si la majorité des grands événements culturels annoncent leur report, quelques manifestations cherchent un format adapté à des contraintes sanitaires encore floues.
Les festivals s'annulent à la pelle et tous se confrontent à une question cruciale : qui paiera la note ? Les organismes d'assurances, pour l'heure, renâclent à couvrir le désastre.
Suite à la déclaration du Ministre de la Culture sur Radio France concernant la possibilité des "petits festivals" à se tenir à partir du 11 mai, l'Union Fédérale d'Intervention des Structures Culturelles a rédigé un communiqué afin de savoir quelles sont les conditions à remplir pour correspondr
Avec la fermeture des librairies depuis mi-mars, l’urgence sanitaire s’ajoute à la crise sociale, administrative et économique qui ravage le monde de la bande dessinée depuis des années.
Mathieu Maisonneuve, directeur de L’Usine, à Toulouse, évoque les nouvelles esthétiques des arts de la rue et les problèmes que le confinement pose aux compagnies habituées à se produire dans l’espace public.
Pierre Beffeyte imagine déjà le Off du monde d'après. Le patron d’Avignon Festivals & Compagnies, l’association qui encadre le festival « Off » d’Avignon, veut que la crise et l’annulation de l'édition 2020 puissent apporter des changements.
EDITORIAL. Alors qu’il vit une catastrophe sans précédent, le monde de la culture a besoin non seulement d’une sérieuse bouée financière, mais aussi de projets de relance concrets.
Auditionné par les sénateurs, le ministre de la culture s’est engagé à étudier toutes les possibilités pour permettre la tenue des « petits festivals ». Il a également confirmé sa volonté de reprendre au plus vite le chantier de Notre-Dame de Paris.
« Double lame », « triple peine », « angle mort des soutiens de l’État »... Dans une tribune publiée sur les réseaux sociaux, le président de la Sacem souligne la situation critique des auteurs, des compositeurs et éditeurs de musique. Et prévient : l’Etat devra être à la hauteur des enjeux.