La tribune publiée la semaine passée dans « Le Monde », signée par des artistes aussi variés que prestigieux, a suscité un certain agacement, voire une véritable irritation.
Un communiqué de presse en date du 6 mai 2020 signé par les organisations de représentation de la filière et les OGC allemandes chiffre les demandes de fonds supplémentaires au gouvernement détaillées par secteur.
Dans un communiqué de presse, le Syndicat des Musiques Actuelles demande au gouvernement des actes concrets pour accompagner les dernières mesures annoncées pour le secteur de la culture, dans l'objectif de "préserver la diversité culturelle française" :
L’appel à la solidarité lancé à l’initiative de Nuits sonores à la mi-mars a été rejoint par 500 acteurs indépendants de la musique et des médias.
Ces travailleurs de l'ombre du secteur culturel demandent à être «remis en lumière» dans un communiqué.
A la veille du début du déconfinenement, le président de la Fédération nationale des collectivités pour la culture (FNCC), Jean-Philippe Lefevre, fait le point sur les relations avec l'Etat et avec les professionnels.
Dans cette période inédite où depuis mi-mars, les artistes ont vu leurs représentations s’annuler une à une, mais aussi leur travail de création suspendu et les résidences interrompues, il nous a semblé urgent (et évident) de mettre nos moyens et notre énergie à leur service.
Arnaud Laporte s'entretient aujourd’hui avec la chorégraphe Mathilde Monnier, qui faisait partie des 12 artistes qui ont échangé la semaine dernière avec le président de la République pour faire part de leurs inquiétudes, de leurs souhaits concernant le monde de l'art et de la culture.
Après avoir interpellé Emmanuel Macron sur le sort des intermittents, le collectif de plus de 800 personnalités du monde de la culture repart à l'attaque en soutien aux intérimaires et autres «extras» du secteur, massivement hors des radars des politiques de soutien mises en œuvre par le
La cascade de reports des spectacles, expositions, sorties de films ou de livres met en évidence une inflation structurelle de l’offre et une programmation de plus en plus verrouillée. Un système à repenser ?