Jean-Raymond Hugonet, sénateur (LR) de l'Essonne et président du groupe de travail sénatorial sur le pass Culture, dénonce une généralisation hâtive de la promesse culturelle phare de l'ex-candidat Macron.
Djillali Annane, chef du service de médecine intensive et réanimation à l'hôpital Raymond Poincaré de Garches (92). Pour Culturelink, le professeur de médecine réagit aux décisions gouvernementales.
Entretien. Selon Dominique Bluzet qui pilote trois théâtres entre Marseille et Aix-en-Provence, la crise sanitaire impose une réflexion profonde sur la place que la société accorde au spectacle. Comment les théâtres peuvent-ils désormais s’adresser à des personnes et non plus à des publics ?
Ne plus envisager la culture qu’en part de produit intérieur brut ou en chiffres de fréquentation ou de consommation est une perversion profonde de la démocratie, s’indigne, dans une tribune au « Monde », Eric de Chassey, directeur de l’Institut national d’histoire de l’art
Pandémie, couvre-feu, attentat, la culture menacée et notre sidération collective : comment l’un des metteurs en scène les plus prometteurs du théâtre français voit-il le moment que nous traversons ? Entretien avec le directeur du Quai, le centre dramatique national d’Angers.
La vision d’une œuvre stimule les deux facultés de notre cerveau : le plaisir et la connaissance, explique Pierre Lemarquis, neurologue et auteur de « L’Art qui guérit », à paraître.
Dans sa chronique, Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde », est interpellé par le fait que les œuvres récentes qui interrogent les conceptions sociétales des musulmans sont rarissimes, alors qu’il en existe beaucoup qui les brossent en victimes.
Yann Chevallier est directeur du Confort Moderne, salle de musiques actuelles à Poitiers (86)
S'il prend toute la mesure de l'urgence sanitaire, le comédien rappelle que les métiers du spectacle et de la restauration ont fait l'effort de s'adapter avec le plus grand soin aux nouvelles règles.
Dans une tribune que nous publions, le fondateur de l’Ensemble Correspondances pointe la “grande précarité” dans laquelle se trouvent les ensembles musicaux indépendants et demande aux pouvoirs publics des mesures rapides et efficaces pour soutenir un secteur délaissé par les politiques