Le 19 mai, musées, cinémas et théâtres pourront rouvrir selon certaines conditions. Un agenda salué, mais qui exclut certains secteurs, notamment le monde de la nuit.
Les réactions aux propos de la ministre ce vendredi sur BFMTV sont très nuancées. Si certains saluent un horizon qui se dégage, d'autres, comme les patrons de festival et acteurs du spectacle vivant, restent très inquiets. Et craignent même que certains événements ne puissent se tenir.
Roselyne Bachelot a également donné le coût de ce concert-test avec le groupe Indochine: environ 900.000 euros.
Le rapport Gauron a été remis aux ministres de la culture et du travail. Il propose d’aménager des « filets de sécurité » ou de prolonger le dispositif actuel.
Le dispositif de l’année blanche en faveur des intermittents du spectacle a été annoncé par le Président de la République le 6 mai 2020, dès le début de la crise sanitaire.
La possible réouverture des musées dès le 15 mai avant les autres lieux vient bousculer l’idée d’un mouvement égalitaire.
Les suites données au rapport Racine suscitent davantage de déception que d’adhésion de la part de ceux qui s’estiment oubliés des politiques publiques.
Plaidant pour une réouverture « progressive et encadrée » dès la fin du confinement, une mission sénatoriale vient de présenter 12 recommandations. Le détail.
Si le Hellfest ou les Solidays ont déjà annulé leur édition 2021, plusieurs manifestations estivales espèrent maintenir leur programmation en proposant des formats adaptés à la crise sanitaire
Pour accélérer le redémarrage du secteur de la culture, la CGT Spectacle a élaboré un « plan de reprise » fondé sur la prise en charge de la partie conventionnelle des salaires des artistes et techniciens, pour un coût net d'un peu plus de 350 millions d'euros sur six mois.