Premières victimes de la crise sanitaire, elles seront les dernières à rouvrir. Elles sont très dépendantes des tournées internationales, elles-mêmes paralysées.
L’enveloppe de 2 milliards d’euros attribuée à la culture privilégie les grands opérateurs parisiens au détriment des régions, accentue le match public-privé et met de côté l’emploi artistique. Décryptage.
«Libération» a recueilli les témoignages d’anciens apprentis comédiens à Rennes qui dénoncent les méthodes de leur professeur, toujours en poste, décrites comme abusives et violentes. Malgré une procédure disciplinaire, celui-ci conteste toute faute pédagogique.
Invité par le Comité Mécénat du Conseil supérieur de l'Ordre des experts-comptables, l'Institut des diplômés d'expertise comptable en entreprise (ECE) a participé le 19 juin dernier à un webinaire sur le thème des aides et de l'accompagnement des acteurs de la culture après la crise Covid-19.
Cinq mois après le déconfinement, l'incertitude et les mesures sanitaires freinent la reprise dans le secteur du spectacle vivant musical.
La reconnaissance par l’Unesco au titre du patrimoine immatériel du « repas gastronomique des Français » s’est accompagnée de la nécessité de créer un ou plusieurs centres d’interprétation portant sur cette thématique.
Le coronavirus et le confinement n’ont pas fait des ravages que chez les artistes. Autre secteur touché, plus méconnu, celui des agents d’artistes. Un moment difficile pour la plupart d’entre-eux.
Le public regroupé au balcon du Théâtre Royal de Madrid, dimanche soir, a manifesté sa désapprobation en criant «suspension», pour dénoncer l'absence de distanciation sociale. La direction a dû annuler l'opéra Un Ballo in maschera, de Verdi.
Les professionnels ont été informés au cœur de l’été qu’ils ne pourraient pas se produire au Poc. La scène travaille à une indemnisation.
Un arrêt de la Cour de Justice européenne sur une affaire irlandaise pourrait conduire quatre sociétés françaises de collectes de droits voisins à rembourser 140 millions d'aides au secteur.