Ce dimanche 21 juin, la Fête de la musique se déroulera dans des circonstances inédites. Avec les mesures sanitaires en vigueur, voici à quoi ressembleront les événements de cette édition 2020.
Pendant le confinement, les appels à construire le monde d’après dans le secteur musical et événementiel se sont multipliés, entre la tribune Technopol pour “faire de la culture, du clubbing ou de la fête une activité plus responsable” ou encore l’Appel des indépendants lancé par Arty Farty, asso
Comment les salles de concert vont-elles pouvoir rouvrir ? Organisateurs de concerts et artistes déplorent d'être toujours dans le flou.
«La France est en zone verte, mais nous restons confinés»: la filière des musiques actuelles déplore qu'Emmanuel Macron n'ait pas donné une clé pour rouvrir les salles de concert alors que la crise sanitaire semble toucher à sa fin.
Artistes, gérant de théâtres et représentants du secteur de la musique ignorent encore si les concerts pourront reprendre en septembre.
Public réduit, port du masque obligatoire, attroupement fixe interdit… Les protocoles sanitaires en vigueur, même moins stricts, devraient donner une allure particulière à l’édition du dimanche 21 juin.
La rue de Valois ne tient pas le premier rôle en matière de dépenses culturelles. Les communes dépensent davantage avec la création de nouveaux événements et la formation de nouvelles élites locales, estime le sociologue dans une tribune au « Monde ».
Les entrepreneurs du spectacle vivant réclament "un déconfinement total et sans distanciation pour une reprise véritable" dans leur secteur, dans un communiqué adressé à Emmanuel Macron avant son intervention dimanche.
Emmanuel Macron n’a rien dit ou presque dimanche sur la culture. « Incompréhensible » pour la sénatrice Union centriste Catherine Morin Desailly. L’ensemble du secteur est pourtant « au bord du chaos », alerte le sénateur PS David Assouline, qui attend un vrai « plan ».
Ces formations, où le travail collectif et corporel est central, s’accommodent mal de l’enseignement en ligne. Les écoles et conservatoires s’inquiètent d’une rentrée complexe si le distanciel reste la règle.