The Shift Project est une association d’intérêt général qui vise à éclairer et influencer le débat public à propos des enjeux climatiques. Elle dresse un état des lieux du secteur de la culture dans son rapport intermédiaire «Décarbonons la culture !».

La salle fait l’objet d’une bataille entre sa directrice, Valérie Deulin, et le maire, Patrick de Carolis, depuis que la ville a décidé de la reprendre en régie directe et de baisser sa subvention.

Ce précieux sésame, qui sera mis en place à partir du 9 juin, est censé nous permettre de revivre ensemble. Mais ce dispositif, créé pour répondre à une crise, n’est pas sans enjeux éthiques, comme l’exposent plusieurs intellectuels.

Le « gendarme » de la concurrence se dit « vigilant » face aux concentrations à l’œuvre dans le service de billetterie, de salles de spectacle et de festivals, sur lesquelles plane aussi l’ombre des GAFA.

Alors qu'une expérience similaire va avoir lieu samedi à l'Arena de Paris-Bercy, la première expérience catalane ne permet pas de conclure «que tous les grands rassemblements sont sûrs».

Les Nuits de Fourvière, la Biennale de la danse, Montpellier Danse et le Printemps des comédiens ont préparé des éditions sous contraintes.

Alors que le milieu théâtral n'a jamais été aussi fragilisé par la crise, le maire d'Arles, Patrick de Carolis, pourrait bien porter l'estocade de sa scène conventionnée, un an seulement après son arrivée à la tête de la ville. Culturelink partage le communiqué du Syndeac.

Toute l’économie de la culture vacille encore sous l’effet des confinements qui révèlent à quel point ce secteur ne peut être livré qu’au seul jeu du marché. Les cinéphiles retrouveront-ils le chemin des salles obscures et les touristes pourront-ils reprendre celui des musées ?

Si les plus gros comme le Hellfest ou Solidays ont déjà annoncé l’annulation de leur édition 2021, de nombreux petits festivals ont décidé de résister. Et de tenter d’adapter leurs propositions aux nouvelles normes sanitaires, malgré les incertitudes.