Les petits producteurs dénoncent avec virulence le « poids prépondérant des majors » qui, selon eux, contribue à mettre en péril la diversité du secteur.
Musique et écologie, même combat. Pour Emmanuel de Buretel, fondateur du label Because (Chris, Justice, Metronomy, Les Rita Mitsouko…) et président de la Société des producteurs de phonogrammes en France (SPPF), « la diversité est abîmée ». Alors que s’est achevé, vendredi 18 octobre à Paris, le Marché des musiques actuelles (MaMa), le producteur français dit redouter, dans un entretien au Monde, une « concentration effrénée sur le marché mondial ».
Chez les organisateurs de concert, « Live Nation et AEG ont tout raflé », déplore-t-il, ce qui rend...
Lire la suite sur lemonde.fr