Une vingtaine d'organisations professionnelles représentant 1.500 petites structures indépendantes alertent sur les conséquences dramatiques du Covid 19 pour elles et leurs sous-traitants.
Ensemble, cette vingtaine d'organisations professionnelles représentent 1.500 structures indépendantes de la filière des musiques actuelles, principalement situées en banlieue parisienne ou en régions : associations, coopératives, TPE, PME à visée non lucrative, axées sur les talents émergents et la diversité musicale. Ce sont des producteurs de spectacles, des labels et des éditeurs, des festivals, des salles de concert (quasiment en totalité des SMAC subventionnées), des centres de formation et des écoles de musique, des radios, tous à l'arrêt avec le confinement .
Leurs portes closes induisent selon le collectif « un déficit de recettes de l'ordre de 300 millions d'euros sur la période allant du 15 mars au 31 mai prochain, avec l'annulation de plus de 20.000 représentations, la suspension des activités d'éducation artistique, des pratiques musicales amateurs, des formations en présentiel, la fermeture des...
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