Malgré la fraîcheur apparente de ce mois de mai, la saison des festivals est bel et bien lancée. Des moments souvent mémorables où l’on peut s’alléger l’âme en musique… sans faire sa fête au climat.
Transports, nourriture, énergie, vaisselle… Rassembler des milliers de personnes en un seul point n’est jamais anodin. Selon comment ils sont conçus, ces festivals peuvent être des énormes machines à CO2 et à déchets. En outre, certains sont aussi des mannes pour les ogres de l’industrie médiatique, comme Vincent Bolloré.
D’autres, petits ou grands, s’échinent à dépasser la simple beuverie en musique pour donner un véritable sens à leur programmation. Conférences, tables rondes, ateliers do it yourself, fresques du climat ou de la biodiversité, ventes de vêtements de seconde ou de primeurs de producteurs locaux… Du Lot à Paris en passant par la Gironde ou la Seine-Maritime, un véritable tissu de festivals indépendants et écologiques maille l’hexagone, cousu par des passionné·es qui savent mieux que quiconque qu’il n’y a pas de festivaliers sur une planète brûlée.
C’est pour mettre en lumière celles et ceux qui s’engagent que Vert publie pour la deuxième année sa carte des festivals écolos ET indépendants...
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