Facteur de cohésion sociale, de mieux vivre, de réussite scolaire… En France, de plus en plus d’expérimentations tendent à démontrer les bénéfices du chant choral sur l’enfant.
Le chant choral ne peut peut-être pas sauver le monde… Mais il pourrait bien aider, d’une manière insoupçonnée, toute une génération d’enfants à surmonter les effets, à long terme, d’une crise sanitaire, dont on peine encore à estimer l’impact direct et indirect en termes de bien-être affectif et relationnel. C’est l’un des enseignements qu’il conviendra de tirer du colloque qui se tenait, les 7 et 8 décembre derniers, à la Philharmonie de Paris. Plus de douze heures durant, une quarantaine d’intervenants (chercheurs en neurosciences, musicothérapeutes, éducateurs, chefs de chœur, spécialistes de la technique Alexander ou de la rythmique Jacques-Dalcroze…) y ont débattu des enjeux de la pédagogie du chant choral aujourd’hui chez les plus jeunes. Le tout sur la base des premiers résultats d’une vaste expérimentation, menée sur trois ans auprès de 120 élèves du CE2 au CM2 de deux écoles classées ...
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