À l'heure de la démocratisation de la culture par les plateformes internet, que venons-nous chercher dans les pratiques culturelles? Distinction sociale, épanouissement personnel, ou encore surplus de connaissance ?
Dans une note très sévère publiée le 14 décembre, les magistrats financiers de la Rue Cambon analysent les raisons de ce qu’ils estiment être un éparpillement des actions et des crédits du ministère de la Culture.
Le durcissement des restrictions sanitaires a surpris l'institution musicale, de nouveau réduite à donner des représentations devant des salles quasi-vides.
Les 19 et 20 janvier, les BIS accueilleront 24 intervenants (représentants professionnels, élus, personnalités qualifiées…) qui exposeront, face à la profession, leurs idées, leurs initiatives, leur bilan de la crise sanitaire et partageront leur vision de l’avenir du spectacle.
Les universitaires Jean-Luc Pouts et Jean-Michel Tobelem signent en ce mois de décembre un guide intitulé «Culture et développement rural». Un travail initié à la demande du Réseau rural français et destiné aux porteurs de projets et aux élus.
Le numéro un français du streaming audio augmente ses tarifs en développant son offre. Le rap est toujours en tête des écoutes.
Dans une note publiée mardi la Cour des comptes critique la politique de subventions du ministère de la Culture estimant que "Les financements publics massifs (...) ont conduit à une offre surabondante, donc à un déséquilibre entre création et diffusion".
Une note consacrée au ministère de la Culture estime en particulier que «les financements publics massifs» pour le spectacle vivant doivent être réformés.
Le premier serait trop centralisé, bridant l’autonomie des établissements, quand le second se serait mué en entité administrative et financière sans projet politique. L’autorité de la rue Cambon propose quelques solutions.
Après deux concerts annulés en France, la chanteuse et organiste suédoise est attendue lundi soir dans une église à l'invitation de la congrégation dominicaine.