L'agence Auvergne Rhône Alpes Spectacle vivant a mis en ligne début février une fiche sur les modes de financements privés de la culture : parrainage, mécénat et financement participatif. Les auteurs insistent sur le fait que ces recherches de fonds ne s'improvisent pas, loin s'en faut.
Parrainage, mécénat, et financement participatif « répondent à des objectifs, des pratiques et des cadres réglementaires qui leur sont propres », préviennent les auteurs de la fiche « Financements privés de la culture », publiée début février par l’agence Auvergne Rhône-Alpes Spectacle vivant. Leur document se veut un panorama de ces différents modes de financement, apportant un éclairage sur « les logiques à l’oeuvre et les principaux enjeux, ainsi que quelques pièges à éviter ».
Autrement dit, choisir tel ou tel mode de financement requiert d’étudier en amont les avantages, les inconvénients et les risques de chaque option en fonction du projet concerné.
Un travail « chronophage » et nécessitant ressources humaines et financières
Un simple repérage sans compétences particulière ne saurait suffire. La recherche de financements privés est « une action chronophage qui demande à être maitrisée et gérée minutieusement avant, pendant et après. Il faut prévoir des ressources humaines et des moyens financiers pour la réussir. »
Et les auteurs d’enfoncer le clou...
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