A l’occasion des Biennales du spectacle vivant (BIS) de Nantes, quinze organisations professionnelles du secteur ont présenté, le 18 janvier, un plan d’action pour la transition écologique élaboré en commun. Au total, quelque 4000 acteurs culturels vont être concernés par ces engagements. En jeu : l'avenir du spectacle réellement «vivant».
Le « Plan d’action commun pour une transition écologique du spectacle vivant », présenté, le 18 janvier, par ses quinze coauteurs (des organisations, fédérations et réseaux du secteur (1) ), à l’occasion des BIS de Nantes 2024 (Biennales du spectacle vivant), constitue sans doute une forme d’exception : acteurs des secteurs public et privé ont travaillé ensemble et signé un document d’une même main. Une démarche suffisamment rare pour que les partenaires présents à Nantes la soulignent à l’unisson. Au total, quelque 4 000 structures du spectacle vivant vont être concernées par les engagements pris par ces organisations professionnelles.
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